| |||||||
![]() |
87/102 samedi 02 décembre 2006, à 13 h 11 Message de l'elfe note : 10 mail : site : pays : des to(ros ville : roseaux mouillés |
Dans ce monde où tout devient si dur Que se déchaine même la nature Qu'on n'ose même plus parler aux voisins cachés derrière leurs hautes haies Comment faire pour de notre coeur le chagrin extirper Découvrir sur le hublo du virtuel au gré du hazard Un être sensible, doux, des fois un peu bizarre Ame figée de douleur, de malheur, de pierre Qui ne voit plus l'horizon mais regarde toujours en arrière Alors on ose s'approcher près de cette statue Mettre juste un peu au début notre coeur à nu Et au fil des mots Combien cet être, on le trouve magnifique et beau Alors on vient le voir, lui parler en toute amitié Pour que dans nos marais.. nos jardins secrets Etre un instant, juste un instant, moins esseulé Qu'importe son âge,son visage,puisque son coeur a subi des outrages Tendrement, on ouvre la porte de sa mystérieuse cage Pour pres de lui se poser Et lui dire ==) toi mon ami.. tu sais que je suis là pour, quand ton esprit se teinte de gris, t'écouter Ohhh combien sans jamais te juger.... Bisou amical des marais Ici pleure la pluie depuis ce matin.. sans arrêt K.Marina D après la photo NYMPHE chateau de Versaille |
86/102 samedi 02 décembre 2006, à 12 h 48 Message de l'elfe note : 10 mail : site : pays : pays des toros ville : les roseaux mouillés |
D'après la photo NYMPHE Chateau de Versailles dans ce monde où tout devient si dur Que se déchaine même la nature Qu'on n'ose même plus parler aux voisins qui se cachent derrière des haies Comment faire pour de notre coeur le chagrin extirper Découvrir sur le hublo du virtuel au gré du hazard Un être sensible, doux, des fois un peu bizarre Ame figée de douleur, de malheur comme statue de pierre Qui ne voit plus l'horizon mais regarde toujours en arrière Alors on ose s'approcher près de cette statue Mettre juste un peu au début notre coeur à nu Et au fil des mots Combien on le trouve magnifique et beau Alors on vient le voir, lui parler en toute amitié Pour dans nos marais.. nos jardins secrets Etre un instant, juste un instant, moins esseulé Qu'importe son âge,son visage,puisque son coeur a subi des outrages Tendrement, on ouvre la porte de sa mystérieuse cage Pour pres de lui se poser Et lui dire ==) toi mon ami.. tu sais que je suis là pour, quand ton esprit se teinte de, t'écouter Ohhh combien sans jamais te juger.... Bisou amical des marais Ici pleure la pluie depuis ce matin.. sans arrêt K.Marina -------------------------------------------------------------------------------- |
85/102 jeudi 23 novembre 2006, à 22 h 02 Message de Camarina note : 10 mail : site : pays : nulle part ville : Dans le pénitencier |
Penché tristement, sur la petite table bancale au mur, collée Le crayon usé par tant d'amour hurlé, entre ses dents, serré Dans les ténèbres, les yeux rougis par des centaines de nuits échappées, IL regarde, sans voir, par la fenêtre le croissant doré IL pense à sa bien-aimée A qui il a offert sa vie,un soir... pour la protéger Les souvenirs, odieux crâbe, le pincent, le rongent Son malheur, son coeur lacéré le boit, l'absorbe comme une éponge Dans sa tête, musique déchirante, lancinante Magaly, Magaly.... le prénom de son amante Les murs de sa cellule de photos, tapissés IL vit, mort-vivant, dans le passé Entre le calendrier aux jours sans fin cochés Et le visage souriant de son adorée S'inventant de merveilleux présents Avec celle qui dehors l'attend.... Depuis si lontemps Depuis qu'il est prisonnier Dans cet enfer aux barreaux rouillés Le temps s'est brusquement arrêté aujourd'hui Le soleil, l'avenir ont fuit. Dans le silence, ponctué du claquement du juda Il s'est emmuré ; sait que sa vie s'éteindra là Dans cette minuscule cage malfamée Ou périssent de désespoir les condamnés Que la grande faucheuse est aux abois Qu'avec reconnaissance, il lui tendra les bras Il n'aimait qu'Elle au monde Vivre un jour sans Elle ... destin immonde Lui semblait plus affreux que la mort IL espérait en Elle, même s'il avait tord C'était sa Lumière, son Amour Celle qui lui murmurait ' Avec toi, toujours Nulle tempête, aucun ouragan ne nous séparera Je suis enchaînée à Toi Les parloirs avec les saisons se firent plus rares Les colis aussi, malheureux hazard Son esprit ,de doutes assailli, le torturait Son coeur refusait ces horribles pensées Et sans cesse , continait d'espérer Ce matin, enfin une lettre est arrivée Simple missive, enveloppe par la censure décachetée Parfum déjà évaporé Ecriture sévère dirige comme des batons figés Dans la courre, lentement, tête baissée, il s'est isolé Seulement par les miradors, épié L'amour de sa vie serré dans sa main Croyant encore au lendemain. La foudre éclata Une lance transperça son coeur avec violence Brisant l'espérance Marquant au fer rouge sa pénitence Sa déchéance La colombe pour le N° 21369 n'avait plus de passion Elle embrassait un autre horizon !!! Moi, je t'aurai attendu toute la vie.. s'il l'avait fallu no 21369 ..... ******************************************************************************** Un grand merci au peintre FABRIZZIO qui m'a permise d'emprunter cette photographie pour illustrer ce texte. |
84/102 jeudi 23 novembre 2006, à 09 h 18 Message de SanD note : 5 mail : site : pays : ville : Vacances Aujoud'hui |
Ben je ne suis pas venue depuis un moment, mais c'est la fête iciiiiii lol Je n'arrivais plus à me connecter, je crois que Fab a mis un anti-Sand pour que je ne puisse pas venir mettre le dawa ici ! Je mets donc un 5, la moitié, car son anti-moi n'a pas marché !!! Bonne journée à vous, les artistes Bizoux ^^ |
83/102 mercredi 22 novembre 2006, à 16 h 49 Message de Fabrizzio note : 10 mail : site : pays : ville : |
Pas de problemes pour utiliser l'image du "prisonnier" lol ![]() A bientot Fabrizzio |